En six mois, Albert Balestra a perdu 26 kilos avec eBalance. Les réactions positives n’ont pas manqué, aussi bien de la part de son corps que de son entourage.

Albert Balestra a toujours été sportif: Au fil des années, il a pratiqué la gymnastique, le jogging, le tennis et le rugby. Mais ses genoux ont commencé à le faire souffrir, et après plusieurs opérations difficiles, il a fallu finalement les remplacer par des prothèses. C’est après cela qu’il a commencé à prendre du poids régulièrement, explique cet homme de 68 ans.

Il pesait près de 100 kilos quand il est retourné pour la première fois à la salle de sport après sa dernière opération. Le moniteur de la salle de sport le prévenait avant certains exercices qu’ils étaient trop dangereux pour lui en raison de son poids. « C’était le déclic », explique aujourd’hui Albert Balestra. Il a décidé de s’inscrire sur le site de perte de poids eBalance.ch, dont un bon ami lui avait parlé auparavant.

Six mois plus tard, cet ancien maître coiffeur est un nouvel homme : Il pèse encore 73 kilos, son tour de taille est passé de 114 à 99 cm. Pour une taille d’1m68, c’est une différence visible. Il reçoit des compliments : ses anciens clients et clientes l’arrêtent dans la rue pour le féliciter de son nouveau corps. « J’en suis tellement content », dit Albert Balestra.

Jeter le chausse-pieds

Mais les effets positifs ne se limitent pas à son apparence extérieure et aux compliments qu’il lui doit. Son corps lui-même lui est reconnaissant : « J’arrive à nouveau à me pencher pour mettre mes chaussures sans utiliser un chausse-pieds à manche. Et surtout, je ne ronfle plus, et je dors donc beaucoup mieux que quand j’étais gros. »

Il attribue sa réussite, qu’il veut maintenant préserver autant que possible à l’aide du programme eBalance « Objectif zéro », surtout à sa discipline : Il tient son bilan calorique de manière « plus que pointilleuse » et il dit qu’eBalance est devenu « presque une addiction ». Pour faciliter la tenue de ce bilan, il s’est même offert un iPad. Il ajoute que sa réussite aurait été « presque impossible sans le plein soutien » de son épouse Edith, car c’est elle qui fait les courses avec circonspection, pèse les portions avec précision et cuisine des plats légers et délicieux.

À la découverte du chou-rave

Depuis qu’Albert Balestra est membre d’eBalance, il ne se contente pas de contrôler ses portions, il a transformé son alimentation. Alors qu’il mangeait auparavant des cornflakes ou du porridge et du fromage au petit déjeuner, il se régale maintenant de fromage blanc allégé avec des fruits frais et aromatisé de cannelle et d’un peu d’édulcorant liquide. Il a aussi inversé la tendance lors du repas principal : au lieu de viande avec de la sauce accompagnée de grosses portions de pâtes ou de riz et d’un peu de légumes, il mange maintenant du poisson grillé avec des légumes avec une petite portion de garniture.

« Moins de pain et de fromage et plus de légumes », voilà la recette principale d’Albert Balestras. Alors qu’il y a encore quelques mois, il mangeait souvent un demi-camembert avant le dîner, il s’accorde à la place du chou-rave agrémenté de jus de citron, de poivre et d’Aromat. Mais il était réellement trop difficile de renoncer au camembert, au gruyère et semblables pour cet amoureux du fromage. Depuis, il a découvert la tomme et d’autres fromages de la gamme « Léger » de chez Migros – et il en est ravi : « Au point de vue goût, ils sont très proches des fromages normaux. »

C’est du bon travail

Depuis, il se permet à nouveau de temps en temps un croissant lors de sa pause du matin ou quelques biscuits au dessert. « Je fais ensuite de sorte à le compenser par un effort sportif supplémentaire. » Car en effet, Albert Balestra fréquente à nouveau sa salle de sport trois à quatre fois par semaine pour retrouver force et endurance. Il ajoute régulièrement à ce programme de la marche nordique ou une promenade rapide avec son épouse Edith et leur chienne Eliza.

Sur son nouvel iPad, Albert Balestra observe régulièrement la courbe de son indice de masse corporelle – qui depuis des semaines descend continuellement. « Des fois je me dis, mon Dieu, j’ai fait du bon travail », avoue-t-il, embarrassé, et il ajoute que son propre succès est sa meilleure motivation. Et il a bien le droit d’être fier.

 

Ecrit par Andreas Weidmann, octobre 2013